• Dans cette première lettre, notre première pensée ira naturellement aux 1.552 Wavrinois qui nous ont fait confiance en nous apportant leur suffrage. Nous les en remercions.

    Comme eux, nous sommes déçus de constater que, malgré un bilan exemplaire et reconnu (zéro centime de dette, ça ne s’invente pas !), malgré des projets réalistes et nécessaires (entre autres : la construction d’un nouveau groupe scolaire pour lequel une réserve de 1,7 million d'euros avait été constituée), une courte majorité de Wavrinois a préféré porter son choix vers d’autres candidats, candidats dont les principaux projets ou bien ne dépendent pas d’eux (Contournement Nord-Est, EHPAD, ... ), ou bien relèvent d’un égoïsme forcené : remettre en cause la ZAC et l’édification de 350 logements, dont 30% de logements sociaux (ah, le vilain mot qui fait peur !) sur une quinzaine d’années dans une des communes qui comptent le moins d’habitants au km².

    C’est proprement ahurissant, pas très humaniste, ni très catholique … docteur !

    Quelques Wavrinois, dont Monsieur Blondeau, ont déploré et critiqué le fait que l’ancienne municipalité (le Maire et ses Adjoints) ait démissionné en masse …
    D’une part, il fallait bien tirer les conséquences du vote des Wavrinois; d’autre part, tous auraient préféré se faire hara-kiri plutôt que de siéger, encore, avec Madame Verrier. Est-ce si difficile que ça à comprendre ? Mais bon, comme dans la fable de La Fontaine, il est difficile de faire plaisir à tout le monde et à son âne.

    Et maintenant? Wavrin atout coeur !

    Ils sont donc partis, ils ont quitté le devant de la scène politique wavrinoise, mais ils n’abandonnent pas leurs convictions. Ils n’abandonnent pas les gens, les amis plutôt, qui leur ont fait confiance.

    Nos six sièges ne sont pas et ne seront jamais vacants. Nos valeurs et notre vision pour Wavrin continueront à être portées et expliquées au travers de Wavrin atout coeur. Et même si aujourd’hui reste encore amer, comme disait Charles Péguy, poète trop méconnu : "l’heure qui sonne est sonnée, le jour qui passe est passé. Demain seul reste. Et les après-demain" … avec Wavrin atout coeur.


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